Si la pollution sonore des voies ferrées est mal encadrée en France, elle peut espérer une avancée au travers de la Loi
d’orientation des mobilités (LOM) votée le 24 décembre 2019. En effet, les articles 90 et 91 de cette loi prévoient la prise
en compte des pics de bruit et des vibrations comme nouveaux indicateurs de gêne. Encore faut-il que cette loi soit
traduite dans des textes d’application.
> le communiqué du MAARR (Mouvement Associatif Anti-nuisances des Riverains du RER A)